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Classe prépa La prépa Saint-Jean de Douai : toutes les infos

La prépa Saint-Jean de Douai : toutes les infos

Fondée en 1854 à Douai dans le Nord, l’Institution Saint-Jean accueille depuis 1988 des classes préparatoires aux grandes écoles dans la filière économique et commerciale. C’est un établissement privé sous contrat d’association avec l’Etat.

Focus sur cette prépa présentant de bons taux de réussite aux concours des écoles de management et réputée pour être accueillante avec les élèves de cube.

Sommaire :

  1. Une institution accueillant exclusivement des prépas commerciales
  2. Une prépa dans le Top 15 des meilleures prépas commerciales de France
    2.1 Les données Parcoursup pour les taux d’admission en prépa
    2.2 Classements l’étudiant.fr pour la réussite aux concours
  3. Une prépa réputée accueillante avec les cubes
  4. Quelques témoignages d’anciens
  5. Informations pratiques
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La prépa Saint-Jean de Douai : toutes les infos

1. Une institution accueillant exclusivement des prépas commerciales   

L’institution Saint-Jean est un établissement privé qui accueille 2000 élèves, de la maternelle à la prépa.

Les classes préparatoires aux grandes écoles ont été créées en 1988 par Christophe Cadet, ancien professeur d’Histoire-géographie à Saint-Jean.

L’établissement propose des filières ECE et ECS. Pour la rentrée 2021, il offre les quatres options en filière ECG :

  • mathématiques approfondies et histoire, géographie et géopolitique,
  • mathématiques approfondies et économie, sociologie et histoire du monde contemporain,
  • mathématiques appliquées et histoire, géographie et géopolitique, et
  • mathématiques appliquées et économie, sociologie et histoire du monde contemporain.

Il présente la particularité de proposer une semaine d’intégration et de remise à niveau en langues.

Il est aussi réputé pour ses interrogations orales hebdomadaires et les entraînements réguliers aux entretiens de personnalité dont bénéficient leurs étudiants.

Les langues vivantes proposées à l’étude sont l’anglais pour la LV1 et l’allemand et l’espagnol pour la LV2.

Établissement privé sous contrat, les frais de scolarité par année (y compris pour les boursiers) sont de 2700 euros.

Il propose un internat mixte (ouvert le week-end) et la demi-pension.

La plupart des élèves de première année logent dans un internat avec surveillant. Pour la deuxième année, les étudiants sont logés par petits groupes de 5 à 20 élèves dans des maisons ou appartements de la ville, à proximité du lycée et bénéficient de la pension complète à la cantine.

2. Une prépa dans le Top 15 des meilleures prépas commerciales de France

2.1. Les données Parcoursup pour les taux d’admission en prépa

FilièreNombre de places proposées en 2020Nombre de vœux en 2020Nombre de candidats ayant reçu une proposition d’admission en 2020Taux d’accès 2020Taux de passage en 2ème année(statistiques nationales pour 2017)Nombre de vœux en 2021Taux minimum d’élèves boursiersClasse de 2nde année
ECS96
(2x 48 places en 2021)
875337
Rang du dernier appelé : 453
38,5%999 (maths appr et ESH)
919 (maths appr. et HGG)
3%



2%
1 ECG (maths approf. et ESH)
1 ECG (maths approf. et HGG)
ECE96
(2x 48 places en 2021)
808321
Rang du dernier appelé : 444
39,7%1104 (maths appl et HGG)
1351 (maths appl et ESH)
2%



3%
1 ECG (maths appliquées et HGG)
1 ECG (maths appliquées et ESH)

2.2. Classements l’étudiant.fr pour la réussite aux concours

FilièreElèves admis dans une grande école en 2020Taux d’admission concours 2020Classement nationalEvolution sur un anTaux moyen sur cinq ans
ECS92/143 (1)64,3%11e
sur 94
en augmentation 862,1%
ECE64/106 (1)60,4%12e
sur 100
en stagnation51,4%

(1) HEC, ESSEC, ESCP BS, EM Lyon, EDHEC, ENS Paris-Saclay

3. Une prépa réputée accueillante avec les cubes

L’Institution Saint-Jean a été créée en 1854 lors de l’installation d’un collège diocésain dans la rue Saint-Jean à Douai.

La sécularisation de l’institution, ainsi que l’établissement de la mixité, se feront progressivement entre les années 60 et 80. Elle est dirigée par un laïc depuis 2003.

C’est en 1988 qu’est ouverte la première classe préparatoire voie économique. Suivra une classe voie scientifique en 2001.

En 150 ans, l’Institution Saint-Jean est passée d’environ 150 à plus de 2000 élèves.

Après avoir connu un classement en première position dans les magazines Challenges et l’Étudiant en 2010/2011, l’établissement se classe depuis dans le Top 15 des meilleures prépas ECS et ECE chaque année.

C’est une prépa qui est réputée accueillir un bon nombre de cubes chaque année (élèves effectuant à nouveau une deuxième année de prépa).

Quelques anciens élèves :

  • Guy Deroubaix, évêque de Saint-Denis
  • Victoire de Villepin, fille de Dominique de Villepin,
  • Marguerite Cazeneuve, membre du cabinet de la Présidence de la République.

4. Quelques témoignages d’anciens

Voici le témoignage de Jules, ancien étudiant ECE de la promotion 2014-2016 et ayant intégré l’ESSEC :

Pourquoi avoir choisi de faire ta prépa à Saint-Jean de Douai?

Ce n’était pas loin de chez moi, je viens de Lille, et je voulais pouvoir rentrer chez moi le week-end. J’avais postulé à une prépa de Lille et mis quelques prépas parisiennes mais sans conviction. J’ai été pris à Saint-Jean. Ça m’a permis d’avoir un cadre de travail très épanouissant, les professeurs sont très bienveillants, et grâce à l’internat en première année nous sommes toujours tous ensemble. Nous sommes épanouis sur le plan personnel, nous n’avons pas à nous soucier des transports, du logement ou même de de la restauration, et on peut se concentrer sur le travail. Les professeurs sont là depuis une quinzaine d’années. Ils transmettent les valeurs propres aux classes préparatoires et à Saint-Jean en particulier, et permettent en dépit de l’accroissement important du nombre d’étudiants ces dernières années de maintenir un réel esprit d’exigence et de réussite académiques.

Comment s’est passée ton intégration ?

Ça s’est très bien passé. J’avais quelques repères avec des gens qui étaient avec moi au lycée, c’était important pour moi. Les professeurs ont montré dès le début l’exigence mais aussi la confiance qu’ils nous accordaient. Sur un plan plus personnel, j’étais un cas un peu à part, je n’étais pas à l’internat, j’étais un peu plus loin. Mais je me suis bien intégré car les étudiants de deuxièmes années sont très présents pour accueillir et intégrer les premières années. Les anciens reviennent très souvent. Ils transmettent les traditions, nous initient. Ils donnent envie aussi. Par leur réussite, ils nous montrent qu’on peut le faire.

Saint-Jean propose une semaine d’intégration avant le début des cours, une remise à niveau intensive en langues. Ça permet de se faire progressivement au rythme de la prépa. On sympathise, et très vite, on se sent chez nous. On a rapidement l’impression de rentrer dans une communauté qui présente un fort héritage.

Comment est l’équipe enseignante ?

Ce qui est précieux, c’est qu’on a beaucoup de professeurs correcteurs ou concepteurs de sujets. On va au fond des choses, on acquiert la base culturelle essentielle à notre réussite, et on nous apprend à traiter des sujets de concours. En maths, en termes de méthode, on nous dit par exemple de ne pas perdre de temps à développer telles ou telles réponses, qu’il suffit de dire certaines choses clés. C’est un gain de temps lorsque l’on passe les épreuves. En culture générale, on a des cours de théologie obligatoire en première année, ça nous permet d’utiliser des références peu utilisées. En deuxième année, on a des cours sur l’iconographie, le cinéma, la musique et la culture. On va aussi étudier des auteurs très pointus, ce sont des références qui font la différence lorsque l’on sait les utiliser à côté d’auteurs plus classiques. En termes de méthodologie, on nous apprend à faire la différence le jour des concours.

Qu’y-a-t-il de notable concernant les infrastructures ?

On est très intégré au lycée. Nous sommes dans les mêmes bâtiments. Ça a ses avantages et ses inconvénients. Il y a maintenant un très grand amphithéâtre, très utile pour les conférences. Mais la plus-value de Saint-Jean se trouve ailleurs. Il y a de véritables préparations aux entretiens de personnalité, et ce, dès la première année. Tout est fait pour que l’on soit au plus près des conditions des oraux de concours. C’est un vrai plus. Saint-Jean a de bons résultats aux écrits, mais les étudiants sont plus préparés aux entretiens de personnalité. Saint-Jean investit beaucoup là-dessus. Je participe d’ailleurs régulièrement à cette préparation et, avec deux autres anciens, nous avons pris en charge l’organisation de ces échanges et de ces entretiens.

Bien-sûr, il y a des équipes de foot, et un tournois. Il y a des cours de sport obligatoires en première année. 

Il y a une cantine qui est dans l’établissement. On y mange 3 fois par jour, et ainsi on ne perd pas de temps à cuisiner. Tout est fait et organisé pour que nous puissions nous concentrer sur nos cours : tout le reste, ils s’en occupent. C’est vraiment optimal de ce point de vue.

Quel est le meilleur conseil que l’on puisse donner à un élève de prépa ?

Quand je fais des conférences, en début d’année, je leur dis de toujours se faire confiance. Quand j’ai intégré, je ne faisais pas partie des premiers, ni même par la suite. Je me suis effondré deux mois avant les concours mais j’ai su me ressaisir et surtout je me suis fait confiance. Bien entendu, il ne faut pas faire de péché d’orgueil et se penser plus fort ou plus brillant qu’on ne l’est. Il ne faut pas abandonner et être persévérant tout en restant lucide.

Voici l’interview croisée de deux anciens de prépa ECS entrés en 2015 à Saint-Jean, Émilien (ayant intégré Skema) et Henri (ayant intégré l’ESSEC), s’étant rencontrés en prépa et toujours amis aujourd’hui :

Pourquoi avoir choisi de faire votre prépa à Saint-Jean ?

Emilien : J’avais fait une formule de maths sur excel et Saint-Jean était sorti de la liste.

Henri :  J’avais un ami qui me l’avait recommandé et j’ai été pris via la plateforme APB (ndlr : la plateforme est maintenant celle de Parcoursup).

Comment s’est passée votre rentrée ?

Émilien : Bien, on doit rapidement s’adapter au rythme. 

Henri : Saint-Jean met dans le rythme assez vite mais je n’ai pas eu l’impression de “me prendre un mur dans la tête”. Les professeurs font attention à garder un esprit bon enfant, et à ce que ça ne soit pas brutal, ils nous mettent progressivement dans le bain.

Émilien : Les profs sont là pour nous soutenir et on ne se sent pas noyé.

Henri : Nous avons 4 concours blancs par an. Quand on a les résultats des premiers concours blancs, ça nous met un petit coup de fouet et là ça devient plus sérieux.

Comment était l’équipe enseignante ?

Henri : Globalement très bonne. À Saint-Jean, ils font attention à ce que leurs élèves aillent bien. Nous avions un prof de maths qui adorait son métier et ça se voyait. Le vendredi après-midi, nous l’avions 3 ou 4 heures d’affilée, et durant la dernière demi-heure, il nous racontait la vie d’Evariste Gallois par exemple. Il faisait ça pour qu’on puisse décompresser. Il n’y avait aucun problème pour aller voir les profs à la fin des cours, ils passaient parfois 15 ou 20 minutes à répondre à nos questions.

Émilien : À Saint-Jean, ils mettent une bonne pression. Ils nous donnent des conseils pour nous améliorer et sont là pour nous remonter le moral.

Henri  : En première année, c’était un peu plus variable : il y avait 2 ou 3 profs que l’on ne comprenait pas toujours. Mais, en deuxième année, je n’ai jamais été déçu.

Étiez-vous à l’internat ?

Émilien : J’y passais beaucoup de temps, mais je n’y étais pas.

Henri :  Moi, j’étais à l’Arsenal. Ils sont en train de rénover les bâtiments (ndlr : les travaux sont terminés). L’internat c’est très cool! Quand on y était, il y avait trois internats avec 3 ambiances très différentes. Il y avait de petites compétitions entre nous mais rien de méchant. À l’arsenal, nous étions peut-être les moins festifs, mais il y avait 2 étages et très vite nous devenions proches avec les gens de notre étage. Il y a des salles de travail, on y passait pas mal de temps. Ça crée un cocon à part de l’Institution Saint-Jean en elle-même. Je dînais à l’internat et j’y travaillais, ça me permettait de faire une vraie coupure. 

En deuxième année, les gens se mettent en coloc.

Quelles sont les particularités que vous notez pour la prépa Saint-Jean ?

Émilien : C’est dur à dire car nous n’avons pas été dans les autres prépas, mais je dirais l’accompagnement des profs, leur qualité, et l’ambiance entre les élèves. Les gens s’entraident, nous sommes tous là pour donner le meilleur de nous-même.

Henri : Je vais citer deux devises qui ont cours à Saint-Jean. La première est “tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin”. Les meilleurs de la classe n’hésitaient pas à expliquer, à ceux qui en avaient besoin, une notion, un problème. On s’entraidait vraiment.

Les classes de cube et de carré sont mélangées en deuxième année et les cubes passaient pas-mal de temps à donner des renseignements, des explications, des astuces….

La deuxième est “jamais dans la demi-mesure”, ni dans le travail, ni pour les moments de décompression que l’on s’accorde. Pleins de gens disaient lors des oraux aux concours que la prépa c’était horrible, qu’ils avaient souffert, etc… Nous, au contraire, nous avions bien vécu nos années de prépa.

Émilien : Lors des oraux et des échanges avec les autres candidats, on découvre à quel point Saint-jean ressemble plus à une école qu’à une prépa classique.

Henri : On était toujours dans une espèce de bulle. Nous n’avons pas fait que travailler : après chaque concours blancs, il y avait une soirée. Des anciens reviennent et font part de leur expérience, ça a contribué à faire de nos années là-bas des années riches et mémorables.

Émilien : Tous les samedis, après les DS, on sortait tous au bar!

Henri : Quand on veut postuler à Saint-Jean, il faut savoir faire la part des choses pour bien s’organiser et profiter de tout. 

Je note par ailleurs, que nous sommes très nombreux dans cette prépa. Ça pouvait poser des problèmes de place dans les salles. Dans certaines matières, il y avait également trop peu de colles. Ça peut être un problème pour ceux qui ne sont pas à l’aise à l’oral. Cela vient de l’éloignement de l’institution des grandes villes. Je n’étais pas bon en maths et j’aurais eu besoin de plus de colles. Je pense que ça m’a desservi. 

Émilien : C’est valable pour les colles de maths et de philo. Pour le reste ça allait, nous en avions toutes les deux semaines.

Quel conseil donneriez-vous à de nouveaux prépas ?

Émilien : Ce serait de profiter. C’est dur, mais c’est une fois en école qu’on comprend que c’était les deux ou trois meilleures années de notre vie. On cherche vraiment à aller au bout de nos limites intellectuelles et de travail, et c’est là que se forgent les plus grandes amitiés. C’est deux années exceptionnelles pour toute la vie !

Henri : Ce serait de ne pas trop stresser. Je n’étais pas très bon en maths et, jusqu’à mi-février de la deuxième année, ça ne décollait pas alors que je bossais beaucoup. Ce qui compte c’est de ne rien lâcher. Ma mère me disait : “la prépa, c’est comme un soufflet : il faut le cuire à la bonne température pour qu’il soit cuit au bon moment et gonflé lorsqu’on le sert”. Mon conseil est de se faire un emploi du temps et de le suivre scrupuleusement sans stresser. Et si les résultats n’arrivent pas tout de suite, il faut se faire confiance ainsi qu’au planning. Il faut s’y tenir pour être prêt au bon moment.

Voici le témoignage d’un ancien cube externe d’ECS, promotion 2017 :

Pourquoi avoir choisi de faire ton année de cube à Saint-Jean de Douai ?

Le parrain de mon ancienne prépa avait raté ses concours, comme moi la première année, et il avait cubé à Saint-Jean. À Saint-Jean, le cadre de travail est idéal : nous sommes isolés de notre famille et plongés dans un cadre studieux. La devise de Saint-Jean c’est : “pas de demi-travail, pas de demi-repos”. C’est la prépa qui allie le plus travail en semaine et détente le week-end. C’était l’ambiance dont j’avais envie pour mon année de khube.

Comment s’est passée ton intégration ?

L’intégration se passe bien. Il y a tous les ans une grosse promotion de cubes externes qui arrivent. Les étudiants sont très accueillants. Il y a un weekend d’intégration en début d’année, tout le monde se mélange, il y a un esprit collectif qui s’installe et l’objectif c’est de s’amuser. Par rapport à d’autres classes préparatoires, les profs sont rodés aux attentes du concours. Ce qui compte, c’est la répétition et les attentes des correcteurs. Pour réussir, il faut de la méthode, et les professeurs connaissent leur sujet.  Une bonne partie a déjà corrigé des épreuves de concours ou sont correcteurs. Le professeur d’histoire-géo à Saint-Jean a la meilleure moyenne de France avec 15 ou 16 (la moyenne nationale tourne en général autour de 10/11). En maths, nous avons quatre professeurs chaque semaine qui se relaient, un par thématique : un pour l’analyse, un pour les probas, un en algèbre et un quatrième avec qui on ne fait que des sujets. Nous sommes très préparés en maths et c’est une matière qui compte surtout quand on est en filière économique et commerciale voie scientifique (ECS).

Comment sont les infrastructures ?

Les premières années peuvent être logés en internat. C’est un peu comme les maisons de Poudlard, il y a une petite rivalité mais l’idée c’est de vraiment créer du lien. La deuxième année, on est en logement externe. On se retrouve tous en colocation. À 18, 19 ou 20 ans, on se retrouve seuls et on prend en autonomie. On a des salles de classes qui nous sont réservées dans l’établissement. On peut étudier et déjeuner sur place même le weekend. On a aussi plusieurs bars qui nous connaissent bien. Ça joue sur le côté décontraction, on arrive plus frais et confiant pour les concours.

Quel est l’avantage de Saint-Jean de Douai selon toi ?

On bénéficie beaucoup du retour des anciens. Les anciens reviennent énormément, à plein d’occasions, notamment pour faire passer des entretiens ou des kholles. Ils apportent leur expérience. On est plus dans la connaissance réelle de l’école (ndlr : de chaque école de management), on sait de quoi on parle. Ce lien se crée tout au long de l’année. Je reçois des messages très régulièrement d’élèves concernant leur projet professionnel parce que je les connais et que j’ai déjà eu l’occasion de les rencontrer durant l’année. On se retrouve tous entre nous, même en école, c’est ce que qui fait la force de cette prépa. Le fait d’être isolé dans une petite ville du Nord rapproche énormément. Il y a un fort sentiment d’appartenance et une fierté, une identité très prégnante, même en tant que khube externe. L’expérience des profs y est pour beaucoup : ils sont là depuis 10/15 ans pour certains.

Quel est le meilleur conseil que l’on t’a donné ?

Le meilleur conseil qu’on m’ait donné, c’est de ne pas travailler avec excès et de travailler intelligemment. Il faut être organisé. Durant l’année et les révisions, j’avais un planning sur lequel je notais chaque heure que je faisais et si je n’avais pas fini je passais tout de même à la suite.

5. Informations pratiques

Lycée Saint-Jean  (Privé sous contrat d’association) 

246 rue Saint Jean

BP 70639

59506 Douai Cedex

Tél. Accueil : 03.27.94.46.60
Fax : 03.27.96.89.03

Site internet

Contact formation :
 jr.masquelier@stjean-douai.eu

Pour plus d’informations :

a.audrain@stjean-douai.eu 

Tél : 06.45.29.05.86.

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